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uc — magical pop desu

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Invité
Invité
Ven 21 Oct - 23:44
Invité

hey mr darling !


Nom ☀ darling bling bling.
Prénom ☀ poppy, cherry, pipi.
Âge ☀ vingt ans et ouais frère.
Nationalité ☀ anglaisement anglaise.
Sexeon se tente sur un genderqueer, tu veux ?

Sexualitéelle aime tout le monde, poppy.
Groupe ☀ humain neutre.
Métier ☀ elle met en valeur les morts, elle leur met un ptit bouquet de fleur sur le coeur, vous avez compris, elle bosse dans un funérarium.
Statut socialpauvre voir parfois moyen.

Particularité ☀ poppy elle est neutre dans tout, elle ne se colle pas d'étiquette, poppy c'est un cactus, compris ? - elle aime bien les morts, elle les trouve silencieux. une odeur émane d'eux, l'odeur d'une vie, d'une tragédie. et elle aime ça, poppy. en vrai, elle s'est pas cassé la tête pour trouver un boulot. - poppy elle veut être une vraie végétarienne mais parfois, la tentation est trop forte. elle se cache quand elle mange un peu de viande mais sachez qu'elle n'en mange presque jamais. - elle fume, un peu, beaucoup, à la folie. - elle aime beaucoup écrire sur les murs, surtout ceux des toilettes et de la gare. - poppy est dépressive, mais franchement, c'est pas grand chose vu nos temps. - bref, c'est poppy.



Caractère
le plafond, le vide, l'univers. il faut savoir que chez toi, les pensées sont lentes voir parfois inexistantes, coincées ou accrochées le long d'un de tes neurones. de ce fait, tu rêvasses plus que tu ne vis. tu te poses sur ta chaise, tu fixes le pot de fleur, tu sais, celui où tu fais pousser de la menthe, et tu le regardes, tu scrutes le flou qui se voile devant tes yeux, tu te reposes, tu aimes ne rien faire, ne rien penser, ne rien branler. mais ce vide, poppy, n'est-il pas plus dangereux que n'importe quelle pensée suicidaire ? n'est-il pas plus noir et froid que le trou funèbre cloîtré devant tes pupilles ? ô combien cette anti-matière faite de colère, de tristesse et de haine te pourrit la vie. addiction fatale d'un esprit endolori par la maladie du siècle, celle qui se prépare derrière chaque miroir, chaque visage et masque, la dépression. elle qui se rue, elle qui se délecte de cette souffrance paradoxale et intérieure. tu te bats, tu lui marches dessus, lui crachant avec débit des mots d'horreurs. mais au fond, quitter la dépression, c'est quitter ce nid égoïste, c'est quitter les larmes chaudes, c'est quitter cette vie fade qui camoufle les battements de ton cœur, alors oui, au fond, tu as peur de rompre avec la dépression.

c'est la pommade du petit monde, ton joli petit sourire. étiré sur de fines lèvres, enveloppé dans le papier de ta gentillesse, il passe toujours, il réconforte parfois. tu es gentil de nature. une nature tendre et soufflée par ton expérience entant que croquemort ainsi que celle du minet des rues, cherchant avec espoir la lueur de la béatitude et du sourire. tu seras le genre de personne à dire je t'aime, à dire que tout va bien, de prendre les gens par la main car l'amour, du moins, uniquement celui que tu donnes, est quelque chose de très important pour toi. tu aimes l'humain sans trop lui donner d'importance, tu aimes les personnes de couleurs de sang comme de peur, tu chéris ces gens qui te donnent un peu de flamme dans le moteur, celui qui te sert de cœur. mais paradoxalement, les gens te font peur, grands, menaçant sur leurs talons mégalomanes de monstres cracheurs d'immondice qui démolissent les entrailles de ta maison. alors oui, tu aimes les gens, mais ô combien il est difficile de s'approprier le véritable pouvoir qui terre dans les paumes de tes congénères mortels.

ensuite, il y a les nuages. ceux qui existent sans exister, ceux qui planent sans nous toucher. il faut savoir que tu as toujours vécu dans l'art de vivre, le vrai. celui où les chaussettes ne sont jamais identiques, celui où les livres et les boites bâtissaient, dans ton capharnaüm, des tables où tu y déposais avec un sourire euphorique, la plante qui t'as fait rêver sur le bord de la route. tu aimes sentir l'odeur de l'humidité matinale imprégnée tes draps blancs, parfois tâchés d'acrylique et de bave. tu as toujours voulu vivre une vie comme si elle était écrite sur une partition, sur une touche de piano ou une corde de violon. mourir au milieu des confitures, mourir quand le dernier flocon de neige effleure le sol, écouter le dernier battement de son cœur et de se dire « qu'il fut bon de vivre » avant de tomber dans les falaises du tunnel, dans la serrure de la boite de Pandore. et pourtant. il y a toujours cette couleur ocre et fluide, une couleur qui bousille le tableau. la réalité. celle de se lever et de travailler. celle d'être indépendant de ce monde de brute. petite chose aux iris blasés, amusés par l'ennui et la démesure. non, vraiment, tu n'arrives pas à retirer la tête hors de l'eau, des livres et de l’irréel.

tu la fixes, cette personne. tu lui dis bonjour. un gentil salut de ta main droite, jamais de la gauche, elle est maudite la gauche. tu lui parles, sans être totalement là. tu as du mal à parler aux gens, tu as du mal t'investir, à boires les dires de toutes ces personnes que tu croises. non pas que tu ne les aimes pas, mais plutôt, c'est barbant. la plèbe du moule ne t'intéresse pas, elle n'est pas assez colorée, pas assez brisée et démoulée pour que tu puisses t'y plonger. tu n'es pas sans savoir que les perles que tu cherches, les coquillages fermé et clos par le silence des abysses, elles sont bien rares. et encore, s'il ne fallait pas en plus les ouvrir. tu fais parti de ces personnes qui chouchoutent pour le plaisir, pour le rictus de l'amitié, même fade soit-il. et cette face blasée qui couvre ton épiderme facial, celle qui fait de toi la personne louche au coin de la rue. la fille, le garçon ? aucun des deux. ton vagin ne te fait ni chaud et encore moins froid. ta poitrine que depuis plus de sept ans, tu compresses, s'est faite à l'idée de ne jamais pouvoir pousser. des traits androgynes, des habits plus que paradoxales, les gens hésitent parfois non. comment faut-il leur démontrer la thèse de ton être ? comment faut-il leur dire que tu ne veux pas être vu comme un utérus, comme un pénis mais comme un humain, un amas de cellules endormies et engourdies par l'épais voile de la dépression.



Physique
une peau lunaire, fine et facile à estomper avec la force et le sang. une peau qui se couvre, une peau qui se cache derrière un look ou plutôt une identité allant de simple à extravagante. des vêtements qui tombent bien trop amples au point de bafouiller ce genre qui ne te reflète pas, cette personne que tu n'es pas. neutre. et les fureurs, les cauchemars que tu as passé toutes ces nuits de torpeurs. il a fallut les gravé, il a fallu laissé les traces, les cicatrices rougeâtres sur le bras gauche, celles invisibles aux autres hommes, cachées par la personne aux allures niaises, se pavant avec l'artillerie de la honte. ▬ poupée russe, poupon aux billes bleues qui tournent pour donner un semblant de sentiment et de chaleur. yeux bleu, yeux tout doux qui surplombent pourtant une immensité glaciaire face à ce monde fermé et clos par les scellés de l'irréalité. ▬ sourire vrai, sourire franc, sourire industriel, il fait de toi la personne gentille qu'on a dû te forcer à avaler, c'est le mutisme même d'une société ou du lavage de cerveau pseudo-enfantin. mais ce sourire, ô combien simple mais rafraîchissant, tsunami de bienveillance, sincère la plupart du temps, ouragan d'ironie qui coule de tes babines, de tes dents aiguisées et solides, celles du loup, du sous estimé monstre. ▬ si nous devions parler chiffre et d'indiscrétion, cent cinquante-quatre centimètres et quarante-cinq kilogrammes seraient sans doute au rendez-vous. ▬ court, soyeux, léger, ils encadrent ta nuque, ou plutôt, ils la caressent de leur pointes bleutées, tes cheveux, ils te rendent bizarrement heureux. ils sont teintés, légèrement abîmés et un peu mal coiffés. ils donnent surtout ce côté androgyne que tu aimes, ils te définissent, froissés, décoiffés. cette couleur, ce bleu fade à l'ombre, ce mauve en plein soleil et ce bleu marine qui dégouline sur tes yeux, propre et suintant poppy à plein nez. ▬ tu fixes ta commode. elle est pleine, tu aimes le tissu, celui qui glisse sur tes formes plates, tu aimes quand ils sentent bon la lessive, tu aimes quand ils sont là, tout près de toi. car tes vêtements, ce sont tes petites doses de chaleurs, de bonne humeur. repassés, pliés, éparpillés. la dictature de la mode, parlons-en. oh, tu n'es pas de ceux qui disent ne pas se fier à cette dernière. mais tu es ceux qui la critiquent, qui la démontent quand elle va trop loin, beaucoup trop pour les dégâts soit réparé. regarde toi, les côtes saillantes, voilà ce que la mode t'a fait. une légère poitrine que parfois, tu comprimes, que tu effaces. tu ne portes que ce que tu aimes, que ce qui te semble assez doux et chaud pour que tes pattes s'y glissent et s'y collent.


Histoire



il y a toujours eu des épingles dans ta chair. placardé contre un mur, tu n'as fait que suivre des yeux l'illusion de vivre une enfance, sans goûter au sucre palpable de l'allégresse. tu as pu toucher de tes doigts ridés, les sourires d'ange de ces enfants enfermés dans ces pages de papiers, tu t'es demandé pourquoi leur sourire paraissait si gai.


uc. :3




Pseudo ☀ marius, foloeil, calci, jsp, anyway.
Âge ☀ seize ans ehehe.
Comment es-tu arrivé ici ? ☀ du secteur nord mon pd ! nn en vrai j'étais sur ce forum y'a pas mal de temps, je suis parti car deux personnes se sont bien foutu de ma yeule ( tkt, elles sont plus là ).
Votre avatarTouka Kirishima || Tokyo Ghoul
Autre chose à dire ? ☀ #teamsms - je fais BEAUCOUP de fautes, désolé pour ce petit truc de merde et ensuite, je balance souvent entre le Je et le Tu dans mes écris, c'est normal, j'inscris ce que l'inspiration me dicte.
Code

© Code by KoroJuùrii
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Zayn J. Lowell
Zayn J. Lowell
Humain Mauvais
Race : Gentleman ♥
Masculin
Messages : 1657
Date d'inscription : 04/01/2015
Age : 39
Emploi : PDG entreprise technologique
Sam 22 Oct - 1:58
Zayn J. Lowell
Bienvenue à toi ^^ Enfin re-bienvenue plutôt ^^ J'avoue que tu m'intrigues je n'arrive pas à deviner qui tu étais avant mais peut être que ça me reviendra surtout lorsqu'on se croisera sur cb ^^ A moins aussi qu'on ne se soit jamais croisé auparavant ce qui expliquerait mieux pourquoi je n'arrive pas à deviner mdr

Bonne chance pour la suite de ta fiche en tout cas ^^
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Luis
Luis
Rebelle Neutre
Race : Mante religieuse
Messages : 354
Date d'inscription : 04/01/2015
Sam 22 Oct - 12:26
Luis
Bienvenue!
Bon courage pour la suite de ta fiche ~
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Adriel Wellington
Adriel Wellington
Hybride Neutre
Race : Grande Aigrette
Masculin
Messages : 306
Date d'inscription : 06/03/2015
Dim 23 Oct - 13:02
Adriel Wellington
Bienvenue et bon courage pour terminer ton histoire !

Tu ne me dis rien, c'est étonnant, je me demande si ça va me revenir 'u'
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