La seule chose que tu fais, c'est engraisser un mafioso en achetant ton mauvais marocco [100% 8D]

Nom ▬ Mordred
Prénom ▬ Satany
Âge ▬ 23 ans
Nationalité ▬ British par le père et péruvien de sa pute de mère
Sexe ▬ Ça vous branche de vérifier le matos entre ses jambes ?

Sexualité ▬ Les beaux culs c'est le principal mec ! Pis la baise c'est de la baise.
Groupe ▬ Humain mauvais
Métier ▬ Il bosse pour se donner un genre mais papa est derrière pour tout payer, donc il est plus ou moins vendeur dans un magasin de disque.
Statut social ▬ Richou, et on dit merci papa ♥️
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Particularité ▬  Fumeur invétéré, glandeur affirmé et parasite absolu. J'vous présente un ours mal léché qui boite quand il croule sous l'effort physique.

Le boulot j'en ai que dalle à faire. J'ai construis ma vie en vivant en parasite sur le dos de mon père. Je passe mes journées vautré dans le canapé moelleux d'ma bicoque, bouffant des marshmallow et regardant je ne sais quelle connerie japonaise à la télé. J'aime bien le Jap' surtout le tas de mangas déconseillés aux petits qui sont pondus en masse une journée. Puis au pire je me bouge le cul et me traîne dans un bar avec mes potes pour tirer la cigarette et mater les beaux derrières qu'ils soient féminins ou masculins.

« Satany, c'est quoi ton but dans la vie ? »qu'il me demande le patron du magasin de disques dans lequel je bosse à des horaires qui varient selon mon degré de flemmardise du jour. Dans ce genre de moment je le regarde, souffle la fumée de ma clope et lui dit avec le sourire du parfait connard «Boss, j'ai une ambition : emmerder le monde. Un rêve : trouver la meilleure position dans le canapé quand je veux me mettre à l'aise devant une émission. Et un objectif : me taper le plus de fessiers bombés et bien formés avant de crever d'un cancer du poumon. » Alors là sa mine de puceau oisif se décompose et il retourne à ses petites affaires, arrêtant de me bourrer le crâne de questions débiles puisque la réponse peut se deviner comme la couleur du string d'une gonzesse qui porte un short trop bas.

J'aime me caler dans un bulle le soir dans mon lit après ma dure journée (passer de la cuisine au salon, du salon aux chiottes et des chiottes au salon) le son de la playlist de mon phone qui résonne à fond dans la baraque. Le must c'est le reggae ça te donne un air de con et mec cool que j'adore puisque je suis tout sauf cool.

La vulgarité c'est ma marque de fabrique, comme les starlettes aiment se déhancher dans des clips à deux balles pour attirer l'œil masculin (ou féminin j'en sais rien et au pire c'n'est pas mon problème) moi j'aime les doigts d'honneur, les injures et les allusions douteuses. Je suis pacifique mais les nerfs j'en ai pas beaucoup. Ça marche tout de suite et maintenant où je saute les plombs. Tu m'insulte je te ruines, tu me désobéis je te fais voir les étoiles et te donne l'opportunité de dire coucou à E.T dans le mauvais sens du terme.

J'suis pour un monde sans esclavages ! Libérons nos frères de la misère, man ! Non je déconne, qu'est ce qu'ils sont pratiques ces machins. Vaisselle, jardinage, cuisine et repassage. En plus j'ai une paire de fesses à portée de main, carrément trop génial.


On m'reproche tellement de choses. J'en ai rien à carrer à vrai dire. Un pote me dit que je râle toujours, que je critique sans jamais donner d'arguments et que j'exige des choses sans vouloir me bouge pour le faire. Normal je suis tranquille pépère enfoncé dans un fauteuil, je ne peux pas repeindre le monde à ma façon. Apparement j'ai l'jugement hâtif. Je range les gens dans des petites cases en un clin d'œil. Les merdeux à droite, le réseau de potes au milieu et les plans cul à gauche. Non je déconne, j'ai oublié les poulets en bas et le reste en haut. Si vous ne voulez pas vous retrouver illico presto dans la caste des négligés, faut me prouver rapidement si vous êtes digne de moi. M'enfin sans briser vos rêves je n'ai pas l'amitié facile.

Je déteste... Attendez j'avais préparé une liste. L'écrire a été mon seul effort physique de la journée. Donc la pluie, le vent, la chaleur, le froid, l'hiver, l'automne, l'été, la neige, l'herbe humide, la terre, la boue, le goudron pas sec, les prudes et les vierges, les casses-couilles, les croûtons, la désobéissance vont tous se faire foutre de ma part. Tout comme l'orage, les légumes, les fourmis, les araignées, les hippocampes, les crabes, les flics, les lois et j'en passe. Je déteste aussi le sable soi-disant passant.

Bon j'aime aussi des trucs, n'allez pas croire que je suis un vieux gâteux. Les mangas, les substances illicites, les piercings et tatouages, la musique et la clope. C'est cool. J'aime aussi les coussins, les fauteuils, les lits, les canapés. Et le dessin c'est ma passion. Je peux le faire en étant allongé ou assis alors c'est cool. Mon vieux dit que c'est le seul truc que je sais faire dans ma vie d'ailleurs. Oh je n'ai pas mentionné un élément qui me semble important : je vis en parfaite harmonie avec le sexe. Passif, actif, homme, femme, humain, hybride je n'y vois pas la différence tant que y a le feeling.


On m'dit que je bouffe un peu n'importe comment. C'est parce que je ne sais pas cuisiner et que je rame pour passer une commande. Alors quand de temps en temps je vais faire les courses, je chope n'importe quoi à droite et à gauche et je mélange les conserves par la suite.

Le monde pourrait crever je ne me bougerai jamais les doigts du cul. Je ne me mêle pas aux conflits, je reste à distance à brandir ma pancarte de petit rebelle.

J'adore me foutre de la gueule des autres, c'est jouissif. Surtout quand ils restent à bégayer comme de parfaits empotés des pseudos insultes qui ne m'affecte pas le moindre du monde et me permette de me payer une bonne tranche de rigolade.


Je suis un parasite invétéré. J'arrive toujours à soutirer des services à droite et à gauche. Papa paye le loyer et les factures (j'y capte rien d'ailleurs), petite sœur repasse mes loques et femme de ménage s'occupe de l'entretien dans la baraque que je loue (que papa loue). Au final moi je reste passif les mains dans les poches à écouter le train siffler.

Si quelque chose me fait chier on le remarque très vite. Tenir une conversation avec moi si vous êtes aussi bas don mon estime que les nichons d'une vielle bique, c'est la galère assurée alors je vous le dit direct il vaut mieux laisser tomber. Je suis un vrai gamin capricieux aux idées arrêtés et entêtées, si je veux un truc peu importe le temps qu'il faudra et les stratégies que je devrais utiliser, je finirai par avoir ce que je convoite.

Malgré ce que je peux dire sur mon côté gros pacha qui savoure la bière et les petits gâteaux, je suis un fonceur et je ne réfléchis jamais beaucoup. Les compliments sincères me touchent et peuvent même me fendre le coeur, les injures me blessent et quand je suis poussé dans le salsifis, croyez-moi je vais vous dégommer.

Le seul moment où je me tiens de façon courtoise en société c'est pendant les réceptions à deux balles de papa. Je sors le costard, le parfum et les phrases toutes faites made in faux-cul. Je mange et parle avec raffinerie, je fais mine de m'intéresser même au sujet de conversation le plus endormant soit-il... Et je suis finalement récompensé par un gros chèque en cadeau.

Pour résumé, moi c'est mangas, musiques, moqueries, dodo, boulot de temps en temps et dessin pour combler les vides. J'aime ma vie. Enfin je m'y suis accoutumé. J'adore en me réveillant ne pas savoir ce que je fais faire dans la journée, ne pas savoir dans quelle direction je marche je trouve que c'est carrément bandant comme sensation.

Et j'suis un humain rappelez-vous. Je ris, je pleurs, je me fâche, je fais la fête, je mange, je dors et je chie aussi à l'occasion.

D'ailleurs j'en ai marre de me décrire, vous l'avez saisit je suis votre pire cauchemar si tant est que je daigne me lever du canapé. Sur mes douces paroles je vais me coucher et rêver d'un monde parfait.

Si on aime me traiter de glandeur et de feignant, faut croire que vous fermez directement votre gueule quand je me pointe devant vous dans la rue. Les putes ont leur mâchoire qui se décroche puisque mon charme repose dans ma dégaine de mec posé souvent stone. Les dreads, j’en porte depuis que la longueur de mes cheveux me le permette. Elles sont longues, brunes avec des perles rouges, jaunes et vertes dedans. Ce qui est cool c’est que je peux en planquer de la bonne dans l’enchevêtrement personne n’ira fouiner dans mes locks. Je les porte libres, attachées, en queue de cheval, en chignon… On va dire que ça dépend de ce que je fais dans la journée. J’ai la petite rouflaquette qui va bien avec et la barbichette que je tresse et que je décore aussi de perles, la seule différence entre elle et mes cheveux, c’est que je coupe l’un plus souvent que l’autre. Non sinon j’aurai deux petites tresses sur le menton qui m’arriverait aux pieds et dans le glamour on fait mieux. Je ne porte pas la casquette et le chapeau, puisque je déteste ça et j’crois que ça ne me va pas. Parce que petit quand mes vieux me foutait en camp de vacances et qu’on me traînait jusqu’à la plage en me criant « Satany tu vas me mettre cette putain de casquette/bob et que je finissais par obtempérer tout le monde se foutait de ma gueule. » M’enfin, ça ne m’a pas traumatisé.

J’ai des yeux, ils sont deux j’ai de la veine. Grands, bleus, attends je me la joue poétique : « Mes prunelles de la couleur du plus pur des océans vous noieront d’admiration en un battement de cœur » ouais ça ne me va pas de causer comme ça. Je porte des piercings et anneaux sur les oreilles, mais aussi sur la langue. Parce que je l’avais parié avec un pote, je lui avais dit que je ne douillerai pas en me la perçant mais j’ai chialé comme un mongole et j’avais la langue aussi grosse qu’une pastèque. J’ai aussi un piercing au sourcil mais je l’oublie tout le temps alors il est quasi inexistant.

Quand je sors de ma bicoque, on remarque ma grande taille. On me reproche de trop souvent sentir la clope alors de temps en temps je fais l’effort de prendre un peu de parfum. J’ai la voix du mec qui n’a pas assez dormi ou qui se réveille après une soirée bien agitée, mais que voulez-vous, on vit avec ce qu’on a.

Teint clair, tache de rousseurs au niveau des joues et du nez, mais également sur les épaules et le haut du torse, j’ai quelques bleus et des vilains bobos par-ci par-là mais au fond c’est cool il me donne l’air d’être une rasta. J’ai des tatouages sur le bras gauche, principalement noir et rouge, ce sont des motifs aztèques que je trouve méga classe. En plus ça complète ma dégaine.

J’aimerai me venter mais bon, je ne suis pas particulièrement musclé. Aussi étonnant que cela puisse paraître, j’ai des abdos 100%naturels mais je ne suis pas le genre taillé dans un bloc de roche volcanique encore en fusion et je ne m’en plains pas puisque le genre armoire à glace ça ne me correspond pas.

Quand je marche c’est le style « ne me presse pas je suis un gros pacha qui vient de finir de s’enfiler trois burgers, si tu me bouscules je te recolore la poire avec mes rejets gastrique. » Ou alors si je viens de m’en allumer un, je vais sautiller partout comme un demeuré et claquer une bise à tous les inconnus que je croise. Je ne me vois pas quand je suis dans ce genre d’état mais je suppose que les gens doivent vraiment pensé que je me suis échappé de mon asile.

Dernier point qui me semble important : je ne me fringue pas comme le dernier mannequin qui pose pour Elite Model. Shoes , froc pas trop ample puisque sinon je nage dedans comme le poisson rouge dans son bocal, et un t-shirt ou un bon gros pull de guignol, ça fait l’affaire man.

Hé petite descend de ta bicyclette et arrête de pomponner ta poupée, viens plutôt écouter mon histoire. Bon je te préviens ce n’est pas un conte de fée. Il n’y aura rien de tragique, pas de combat fantastique, de fulgurantes épopées et encore moins une couronne cachée à retrouver pour délivrer la belle princesse d’un triste sort. Tu ne trouveras ni dragon, ni marâtre, ni belles-sœurs ingrates, peut-être que certains de tes rêves vis-à-vis de la beauté de la vie seront brisés, mais que veux-tu, il faut vivre avec son temps. Tu as bien compris ? Ni licornes et ni citrouilles qui se transforment en carrosse, encore moins une natte infinie de cheveux blonds permettant de rejoindre sa belle prisonnière d’une immense tour.

L’histoire commence dans un miteux appartement deux pièces crasseux à la décoration lamentable, dans lequel chaque meuble semble sur le point de s’effondrer. Deux matelas par terre côte à côté, une cuisine qui ne marche pas avec un lavabo qui fuit. Point de salle de bain, il faut se rendre dans les douches publiques à chaque matin. Une femme vit ici, c’est pute, elle fait les trottoirs du matin au soir, ça lui permet de gagner un peu d’argent mais bon, ce n’est vraiment pas suffisant. Et puis un jour, faute de protection c’est le drame, la belle tombe enceinte. Elle ne peut pas avorter, ignore qui est le père du petit et elle se dit que si elle le garde, il pourra toujours l’aider à amasser de l’argent d’une façon ou d’une autre. Accouchement laborieux, le gosse qui naît a de grands yeux bleus dont la forme rappelle ceux de la mère d’origines péruviennes. Bon, que faire de cet enfant en attendant qu’il soit en âge de l’aider ? Et bien rien, ce n’est pas comme si elle peut se permettre de lui payer l’école ou quoi que ce soit d’autre. Elle ne « travaille » pas et surveille le petit quand il fait mumuse avec un joujou en bois volé dans le quartier voisin.

La belle attend que les années passent et quand enfin, le gamin atteint ses huit ans, elle se dit qu’il doit trouver un petit boulot. Tu sais petite, le travail des enfants ça existe encore malgré les interdictions, les actions illégales se poursuivent. La mère demande à un de ses amis dealeur de l’aider, le gars se dit qu’un p’tit aussi jeune ne se fera jamais pincer aussi jeune par les poulets, alors il paie le petit et en échange il livre les marchandises aux habitués. Oh que oui c’est malsain, mais la situation ne va pas s’éterniser.

La maman fait une rencontre pour le moins inattendue, un beau jeune homme charmant qui lui baise la main et la complimente, au lieu de la considérer comme une marionnette propre à succomber au désir. Une rencontre, deux rencontres, trois rencontres. Et finalement y a de l’amour. Et non petite, ce n’est quand même pas un conte de Disney. L’homme s’avère être un richissime homme d’affaire et la piètre famille composée de la belle et du gamin dealer, s’installe dans une belle villa dans les quartiers riches, dans laquelle tout se fait en un claquement de doigt grâce aux domestiques. L’un d’entre eux est curieux et le petit s’en amuse beaucoup : il a des oreilles de chat.

Ajoutons à l’histoire quelques sombres nuances à présent, puisque petite, je te sens déjà fantasmer sur une fin digne de l’histoire de Cendrillon. La mère passe quelques années avec son beau, mais la relation commence à s’effriter. Dépressions, alcools, drogues et tabacs forment désormais le quotidien de la femme. Et puis désolé mais y eu un drame. Satany, à cette époque âgé de 12 ans rentrait des cours, dans lesquels il n’avait absolument rien écouté, de toute façon il ne comprenait rien et souffrait d’un retard par rapport aux autres élèves. Il a poussé la porte de la baraque, en a lâché sa glace et a hurlé comme jamais. C’est comme ça qu’on est censé réagir quand on retrouve notre charmante mère à la crinière brune, au sol, une boîte de médicaments vides à côté et les yeux levés vers le ciel.

Funérailles remarquables, tous de noirs vêtus, vous pleurez la belle alors que le cortège s’éloignait vers le cimetière pour la faire disparaître six pieds sous terre. Elle avait 31 ans le lendemain et s’appelait Jessica. Avant sa dépression, elle avait toujours été une belle forte, fatale, qui ne se laissait avoir par aucun homme. Etant donné son métier, il valait mieux avoir les tripes bien accrochées de toute façon. Puis avec la dépression elle était devenue une loque.

Malgré les hauts et bas du couple, la mort s’est faite ressentir pendant longtemps. Le beau noyait sa tristesse dans les jeux d’argents, il s’en branlait avec son capital il pouvait se permettre de jouer et perdre autant qu’il voulait. Sauf qu’il s’est plutôt bien remplit les poches dans cette période, il venait de toucher le jackpot. Mais ça ne changeait rien à la situation, sa belle n’était plus là et il se retrouvait avec un fils qui touchait déjà à la drogue, séchait les cours et fumait en toute circonstance. Quand il a eu 14 ans, l’homme en a eu marre du comportement de Satany et prétextant d’être encore sous le choc de la disparition de la belle, il épuisa ses nerfs sur l’enfant.

On lui demandait d’où venaient les bleus, il répondait qu’il s’était cassé la gueule ou quelque chose comme ça. Et puis il s’est fondé une façade de gros pacha, pour rassurer les autres autour de lui. Reggaeton, filles, mecs aussi. Il souriait et s’éclatait la panse comme le dernier des cons, jouant et faisant le fou comme à une fête pour passer pour un ado à peu près normal aux yeux des autres.

Finalement, l’homme a cessé de frapper le petit et s’est retrouvée une gonzesse. Une vraie pétasse qui ne vivait que pour ses talons hauts et ses lèvres botoxées.


Elle et Satany ne pouvait pas se piffer. Elle suçait l’argent du beau sans le moindre remord, se fringuait comme la dernière des putes et passait son temps à faire des soirées vernis avec ses quelques bouffonnes du quartier. La précédente belle avait comme désertée les mémoires des deux pseudos amoureux. Ils ont eu deux gosses ensembles, tous aussi intellos l’un que l’autre. Deux fills, deux jumelles. Et puis il y avait l’autre qui comptait sur ses doigts et ne comprenait pas bien tous les mots, qui se grillait les neurones et buvait comme un chien.

Il a eu 16 ans le petit, et il est vraiment partit en live. Et il couchait à droite et à gauche, et il insultait tout le monde, une petite crise d’adolescence ou un cri du cœur ? Il pourrissait le nom de ses parents en se faisant pincer par les poulets avec sa drogue et sa canette.  Vivement qu’il dégage de la maison celui-ci.

Et puis y avait l’autre chienne qui continuait son numéro de charmes, voyant des hommes à gauche et à droite. Grandir dans ce genre de milieu ne favorise pas la fidélité, crois-le petite.


Puis la pimbêche s’est faite la malle après avoir bien profité des richesses de son mec pour acheter tout ce qu’elle voulait. Désormais elle traîne avec un monsieur biscoteaux absolument cliché et ridicule au possible qui est fier comme un coq avec sa copine. Elle est faite de plastique et le seul avantage, c’est bien qu’elle sera recyclable à sa mort. Vive les économies !

Bref le père ne s’est pas vraiment laissé démonté par l’expérience et depuis il a enchaîné les gonzesses qui ne vivent que pour les fringues et la mode. Satany en avait tellement marre que maintenant, les femmes l’énervent genre vraiment et il va même finir par ne plus les aimer et préférer la compagnie masculine pour épargner ses oreilles des conversations ennuyeuses de ces cruches juste bonne à écarter les jambes.


18 ans révolus, le père a mis le petit à la porte avec un deal.

« Tu pourras avoir accès à toutes mes richesses comme il te plaît, en échange quand j’aurai des vernissages tu devrais m’accompagner et paraître comme le fils le plus exemplaire et raffiné possible. Pas de drogues, pas de clopes c’est clair ? »

Le gosse répondait l’air amusé, main dans les poches, tirant sur le joint et parlant d’une voix posée.

« OK Papa, mais si un jour je me pointe totalement ivre tu vas faire quoi ? Me frapper comme tu le faisais ? Je sais me défendre p’pa, et à ton âge je te jure qu’il ne vaudrait mieux pas que je brise tes derniers os encore en état. »

« Au moindre faux pas tu te retrouveras fauché et à la rue fils. »

Gros soupire.

« OK, autre chose ou je peux prendre mes valises et profiter pleinement de ton argent ? Non rien ? Alors bye et à la prochaine. Oh et ferme ta bouche, ton dentier va se casser la gueule sur l’herbe, ce serait dommage au prix où tu l’as payé. »

Et devant la mine de son père, il rajoutait d’un ton faussement contrit.

« Oh je déconne mon petit papa, t’es pas si vieux que ça. T’es né après les dinos c’est déjà ça. »

Et puis il s’est cassé et à la surprise générale, le deal a fonctionné.
Petite, deux minutes c’est presque achevé. Figure-toi que notre glandeur n’a aucun rêve, aucun ambition et que si tu le laisses le matin dans son lit à mater des scans sur son ordinateur portable, tu pourras être sûre qu’il sera dans la même position dix ans plus tard. Faut croire qu’il aime ne rien faire. Parfois on fait des allusions aux origines de sa mère  bio’, mais comme dirait une chanson : « Et mes copains qui me traite de fils de putain sont jaloux c’est certain car eux sont fils de boudins. »

En ce moment, notre protagoniste se dit qu’il serait grand temps qu’il trouve des trucs là… Des hybrides puisque sa bicoque est tellement crasseuse que lui-même commence à ne plus supporter de traverser une cuisine jonchée de cartons de pizza, ornées par les taches de sauces tomates. En plus ça pue la clope dans toute la baraque et quand ses quelques et rares amis sobres viennent chez lui pour le défier sur Fifa, ben franchement ils ouvrent toutes les fenêtres et même comme ça, franchement le port  du masque est conseillé.

Tu vois petite, la vie n’est pas un conte de fée, en fin de compte on ne peut pas la qualifier d’horrible. Tout dépend de comment tu vois les choses. Mais quoi qu’il en soit, certains ne bougent jamais. Le gosse  en fait partit. Je peux te jurer, toute sa vie il restera le même mariole a agité la tête comme un con sur sa musique de reggae. Il a actuellement 23 ans et est un parfait abruti. Tu l’as sans doute déjà croisé, il est tellement timbré qu’il irait même demandait de la fume à une gamine comme toi.

Pseudo ▬ Satany
Âge ▬ Un âge situé entre 16 et 99 ans
Comment es-tu arrivé ici ? ▬ Partenariat
Votre avatar ▬ Are, littleulvar sur Deviantart
Autre chose à dire ? ▬ Heu je vous fais le reste de la fiche demain mais là je suis sur mobile et je dois finir un design à la bourre, pis je mate la télé en même temps. Juste pour prévenir le style d'écriture est partie intégrante du personnage, enfin je vous laisse la surprise bonne ou mauvaise de le découvrir. Et le forum m'a l'air sympa. Bref je me tais. Euh le code je ne sais pas s'il est bon mais j'ai les yeux en compote alors s'il est mauvais je chercherai demain (la phrase exacte serait tout à l'heure comme il est 1h02). Bref cette fois je me tais ♥️Et la fiche est inspirée par la musique « Petit Rasta » de Monsieur Roux !
Code ▬

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